A propos de la promesse faite par Dieu à Jacob, un ami prêtre nous disait aujourd’hui qu’il évite personnellement l’expression « terre promise », et lui préfère l’expression « terre de la promesse ».
Dire « terre promise », c’est en effet faire de la terre un but; c’est fermer la perspective. Au contraire l’expression « terre de la promesse » insiste sur le fait que ce qui est central c’est la promesse.
La promesse est plus large que la terre; elle la dépasse.
Peut-être d’ailleurs la terre n’est-elle qu’une étape?